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Le Top 5 des meilleurs films catastrophe !

A l’occasion de la sortie en salles le 11 novembre 2009 de 2012 (voir la bande-annonce), réalisé par le cinéaste allemand Roland Emmerich, spécialiste du genre qui a déjà signé Stargate, Independance Day, Godzilla et l'excellent Le jour d'après, voici un petit récapitulatif des meilleurs films catastrophe de l'Histoire.


Number 5

World Trade Center, d'Oliver Stone.
C’est quoi : Oliver Stone rend hommage aux courageux pompiers new-yorkais qui ont donné leurs vies lors des attentats terroristes du 11 septembre 2001.
Les Héros : On veut nous faire croire que c’est Nicolas Cage mais pendant 2h il reste allongé sous des gravas. Donc les héros, c’est plutôt ceux qui enlèvent les gravas, qui libèrent Nic et qu’on voit 1 minute 12 à la fin.
Les Méchants : Oussama Ben Laden et son pote George W.
Les Qualités : Même en cherchant bien j’en vois pas. Ah si, l’excellente Maria Bello a un petit rôle ! Elle a dû se perdre.
Les Défauts : Quasiment tout. C’est un gros navet larmoyant, un mélo patriotique bourrin sans aucun intérêt, quasiment irregardable. Et Nicolas Cage a une moustache !
Nombre de victimes : 2750 + une bonne partie des spectateurs qui se sont jetés de leurs fauteuils. RIP.




Number 4

Armageddon, de Michael Bay.
C’est quoi : Un très gros astéroïde qui fait très peur va s’écraser sur la Terre et anéantir toutes les formes de vie.
Les Héros : Une poignée d’alcoolos spécialisés dans les forages pétroliers vont être envoyés dans l’espace pr la NASA, ils vont se poser sur l’astéroïde, faire un trou dedans, et y mettre une bombe pour le faire péter de l’intérieur, et tout ça, dans les temps pour sauver la Terre.
Les Méchants : Oooh, au final, tout le monde a plus ou moins bon fond.
Les Qualités : Billy Bob Thornton qui cabotine. Et Bruce Willis qui meurt.
Les Défauts : Hormis la mise en scène habituellement débile de Michael Bay qui veut vraiment nous faire comprendre qu’il en a une grosse, Ben Affleck. C’est juste une catastrophe.
Nombre de victimes : 3. Ben oui, ils sauvent le Monde.




Number 3

Le jour d’après, de Rolland Emmerich.
C’est quoi : Un changement climatique imprévu - mouais - et violent entraîne toutes sortes de catastrophes écologiques dans le monde.
Les Héros : Al Gore, Nicolas Hulot et un autodafé.
Les Méchants : Le monde industrialisé et la société de consommation.
Les Qualités : A/Des effets spéciaux magnifiques. B/La possibilité de faire du ski en plein Manhattan. C/Jake Gyllenhaal en garçon séquestré dans une bibliothèque, montrait déjà l’étendue de son talent avant d’être séquestré sous une tente.
Les Défauts : A/Rolland Emmerich ne fait pas toujours dans la dentelle, mais c’est toujours mieux que Godzilla et ID4 . B/Le risque que ce soit un film d’anticipation.
Nombre de victimes : Sur une échelle suffisamment grande, l'humanité toute entière.




Number 2

La tour infernale, de John Guillermin.
C’est quoi : Pendant des années, LA référence absolue du genre : à San Francisco, l’inauguration en grandes pompes du plus grand gratte-ciel du monde tourne au vinaigre.
Les Héros : Paul Newman avec son regard rassurant bleu acier et Steve McQueen en Monsieur Courage héroïque déguisé en pompier.
Les Méchants : Richard Chamberlain, oui !, le gentil curé des Oiseaux se cachent pour mourir, ben là, il a quitté les ordres et il n'est plus gentil du tout.
Les Qualités : Enormes moyens pour l’époque et tout se voit sur l’écran. Un casting composé de tout ce qu’Hollywood fait de plus glamour, avec en tête la sublimissime Faye Dunaway…
Les Défauts : Le film date de 1975, un autre siècle, notamment en ce qui concerne les effets spéciaux.
Nombre de victimes : 350.




Winner

Titanic, de John Cameron.
C’est quoi : Le plus gros bateau du monde parti affronter un immense et redoutable iceberg. Après trois heures de lutte acharnée, le bateau touché a coulé.
Les Héros : Quelques matelots qui acceptent d’ouvrir les grilles pour que les 3e classe puissent sortir... mais on ne retiendra que Jack, le beau Jack qui sauve la vie de Rose en la foutant sur une bûche alors que lui se transforme en Mister Freeze. Hyper touchant.
Les Méchants : Billy Zane. Il est très vilain parce qu’il est jaloux, mais comme il a un peu la moue de Marlon Brando jeune, on lui pardonne tout.
Les Qualités : Une histoire d’amour universelle et intemporelle au cœur du drame. Roméo et Juliette croisé avec Holiday on Ice : 11 Oscars à la clé.
Les Défauts : Céline Dion qui braille les cheveux au vent.
Nombre de victimes : 1491, soit un de moins que Christophe Colomb.



Les bande-annonces des films les plus attendus !

Régulièrement sur ce blog, je vous proposerai les premières images des films les plus attendus des mois à venir, et pour cette première, je vous invite à découvrir quatre blockbusters américains, aussi explosifs que visuellement décapants !

2012 - de Roland Emmerich - avec John Cusack, Chiwetel Ejiofor, Thandie Newton, Woody Harrelson et Amanda Peet - en salles le 11 novembre 2009.

Les Mayas, l'une des plus fascinantes civilisations que la Terre ait portées, nous ont transmis une prophétie : leur calendrier prend fin en 2012, et notre monde aussi. Depuis, les astrologues l'ont confirmé, les numérologues l'ont prédit, les géophysiciens trouvent cela dangereusement plausible, et même les experts scientifiques gouvernementaux finissent par arriver à cette terrifiante conclusion.
La prophétie maya a été examinée, discutée, minutieusement analysée. En 2012, nous saurons tous si elle est vraie, mais quelques-uns auront été prévenus depuis longtemps...
Lorsque les plaques tectoniques se mettent à glisser, provoquant de multiples séismes et détruisant Los Angeles au passage, Jackson Curtis, romancier, et sa famille se jettent à corps perdu, comme des millions d'individus, dans un voyage désespéré. Tous ne pourront pas être sauvés...




Avatar - de James Cameron - avec Sam Worthington, Sigourney Weaver, Michelle Rodriguez, Zoe Saldana et Wes Studi - en salles le 16 décembre 2009.

Absent des salles obscures depuis le succès planètaire et historique de Titanic - même s'il a réalisé depuis les documentaires Les fantômes du Titanic et Aliens of the Deep -, James Cameron (Aliens, Abyss, Terminator), travaille depuis une quinzaine d'années sur Avatar, un film de science-fiction révolutionnaire tourné en 3-D (pour lequel il a dû attendre les progrès techniques dont il avait besoin pour le réaliser tel qu'il le souhaitait), qui proposera aux spectateurs une expérience jusque-là jamais vécue.
Doté d'un budget pharaonique et unique de 315 millions de dollars, Avatar nous plongera dans l'aventure de Jake, un ancien marine paraplégique, transporté avec plusieurs humains sur une autre planète, baptisée Pandora, habitée par les Na'vi, une race extra-terrestre humanoïde qui possède sa propre culture et son propre langage. Les Terriens vont se trouver confrontés les uns aux autres et à la culture locale. Aidé par une exploratrice dont il tombera amoureux, Jake découvrira un monde fantastique alors qu'un conflit intergalactique total menace d'éclater.
Avec des références assumées à Aliens, Dark Cristal, Hellboy, Le cinquième élément, Le labyrinthe de Pan, l'univers d'Hayao Miyazaki, Jurassic Park et beaucoup d'autres, le monde créé par le cinéaste canadien s'avère être d'une richesse rarement vu auparavant, d'une beauté éblouissante et d'une maestria technique unique.




Shutter Island - de Martin Scorsese - avec Leonardo DiCaprio, Mark Ruffalo, Ben Kingsley, Michelle Williams et Emily Mortimer - en salles le 24 février 2010.

Adapté du grand Dennis Lehane (Mystic River), ce nouveau polar paranoïaque nous plonge en 1954. Teddy Daniels et Chuck Aule enquêtent sur la disparition d'une patiente échappée d'un hôpital psychiatrique à sécurité maximale. L'hôpital en question est basé sur Shutter Island, une île située à environ une heure au large de Boston.
Une enquête terrifiante qui va se refermer petit à petit sur l'un des deux agents... pour l'un des plus grands frissons que le Maître Scorsese nous ait jamais proposé.




Alice in Wonderland - de Tim Burton - avec Mia Wasikowska, Johnny Depp, Helena Bonham Carter, Michael Sheen et Anne Hathaway - en salles le 24 mars 2010.

Jeune fille curieuse, aimable mais dissipée, Alice est prête à tout pour sortir de son quotidien mortellement ennuyeux. Même à suivre un étrange lapin blanc...
L'histoire d'Alice est connue de tous, autant par le formidable récit initial de Lewis Carroll, que par l'adaptation culte des studios Disney. Mais passée à la moulinette burtonienne (Ed Wood, Charlie et la chocolaterie, Sweeney Todd), cette plongée onirique prend encore un autre sens. Une réussite visuelle à découvrir dans quelques mois.